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"J'écris pour agir"

Voltaire est un farouche adversaire du fanatisme religieux et de l’intolérance. Il lutte pour la mise en œuvre d’une véritable justice.

Il se confronte plus d’une fois à l’arbitraire dans de nombreuses affaires célèbres (Sirven, Chevalier de la Barre, Calas…).

Il combat le pouvoir absolu des princes, puis s’exile. Il écrivait à toute l’élite intellectuelle de l’Europe. Il a influencé les révolutionnaires

Américains et Français.

Zola a lui aussi écrit pour agir. Son « j’accuse » s’attaque à une décision de justice et pour défendre une cause juste.

Le Président Macron dit : « Tous ceux qui écrivent servent la France ». « L’écriture est une ascèse, une école d’humilité. Ecrire c’est se confronter à plus grand que soi,

rechercher la clarté »    « Ecrire c’est déjà commencer à agir ».

Editos :

L’émancipation, La solution contre les doctrinaires

« Ne pas railler, ne pas déplorer…mais comprendre » Spinoza Nous sommes dans les années 90, vous êtes un homme de 45-50 ans, vous réussissez votre vie professionnelle. Vous êtes passionné par cette vie qui vous fait exister, un peu comme dans le sport quand on parle...

Liberté

On a toujours beaucoup disserté sur « la Liberté », c’est un des trois mots de notre devise. Bien avant le macronisme -beaucoup de mes lecteurs m’en seront témoins-  je me disais ni de droite, ni de gauche, mais libéral opposé au collectivisme. Je me méfie de ces mots...

Le mariage civil, une hérésie d’état

Le nouvel exécutif bouscule l’orthodoxie étatiste, et surtout la rêverie politique de « l’ancien monde ». Depuis quelques mois, nous sommes plongés dans une pédagogie pratico-pratique qui sèche les syndicalistes les plus ardents ainsi que l’opposition devenue...

Archives

Notre surimposition finance notre suradministration

Les innombrables débats qui caractérisent notre beau pays brouillent parfois l’autopsie qu’en font nos intellectuels. En particulier les palabres sur le monde agricole.

Personne n’y comprend rien, tout le monde se contredit.
On ne cherche pas du tout l’issue ou l’opérationnalité, même à moyen terme.
La franchouillardise des « non créateurs de richesse » provient toujours des mêmes maux de notre société.

Le législateur politique et sa cohorte de donneurs de leçons contemplateurs jubilent dans l’intellectualisme stérile. 80% sont enseignants ou anciens enseignants (Stats Assemblée Nationale, Sénat, collectivités territoriales, exécutif…comités Théodule…).
Au lieu d’alimenter la sphère des faiseurs, ils suralimentent une Administration déjà obèse.

La France électoraliste et philosophe-idéaliste se noie dans le premier degré de la sublimation des faibles contre les forts. Le monde économique agit en sens inverse. Le boss n’est pas élu, il n’est confronté qu’aux résultats de son entreprise. Les salariés ne sont heureux que lorsque celle-ci est compétitive, donc « riche ».

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