Les tribunaux sont désormais soumis à des impératifs de rapidité. L’accélération du temps judiciaire permet de « gagner du temps » sur les affaires courantes qui submergent les juridictions, mais elle rend plus exigeante la coordination entre les acteurs et empêche de prendre du recul sur les dossiers. Pour analyser les effets de cette pression du temps, cet ouvrage examine trois segments de l’activité judiciaire en France et en Belgique : le traitement rapide des affaires pénales, le divorce, les assises.

Avec le soutien de l’Institut des sciences sociales de Liège et du CESDIP.

Bastard, Delvaux, Mouhanna – Presses universitaires de Rennes